Henri Eskenazi se passionne depuis de nombreuses années à la photographie sous-marine qu’il enseigne. Le photojournalisme lui a permis de réaliser plus de
1 000 000 clichés dans près de 140 pays différents, du Pôle Nord à l’Antarctique, du Népal à l’Amazonie, de la Papouasie au Swaziland, du Sahara au Svalbard : infatigable globe-trotter toujours près à boucler ses valises, il se « shoote » au décalage horaire et se grise d’inconnu.
Entre deux escapades, Henri Eskenazi pose ses sacs à
Marseille, sa ville natale. C’est d’ailleurs dans le bleu des calanques, à Sormiou, qu’il s’est découvert cette passion pour l’univers
subaquatique. Depuis, son CV de chasseur d’images s’est bien étoffé : participation à de nombreux concours en tant que compétiteur puis juré, expositions, conférences, publications de reportages dans divers magazines français ou étrangers, membre du Club des Explorateurs, vice-président du
Festival Mondial de l’Image Sous-Marine et 15 livres…
« Autrefois, les grands voyageurs prenaient des notes, réalisaient des croquis, écrivaient des mémoires. Côtoyant, à terre ou au bord des
océans, celles et ceux qui m’ont appris à aimer la
mer, j’ai choisi la photographie pour m’exprimer ». Un excellent moyen d’assouvir sa curiosité naturelle. Sur ses chemins de voyages, terrestres et
sous-marins, il rencontre les gens, la
faune, la
flore, immortalise les paysages, partageant ses connaissances avec chaleur et enthousiasme.
Amoureux de la nature, Henri Eskenazi relate, sans se lasser, ce monde
sous-marin à la fois riche et secret, généreux et mystérieux, qui « jamais ne le déçoit ».