Sous l'eau la lumière et les couleurs sont absorbées, l'utilité d'une lampe (on dit aussi
torche sous-marine), même en plein jour, prend alors tout son sens pour révéler les merveilles
subaquatiques.
Cet accessoire devient indispensable pour une
plongée de nuit ou en eau très sombre, non seulement pour voir, mais avant tout pour être vu. De nuit, on utilise sa lampe pour éclairer les
signes conventionnels que l'on fait, mais il vaut mieux, pour éviter d'éblouir son partenaire, diriger le faisceau lumineux vers son ventre et non vers son visage.
La lampe doit être étanche au moins à 60 mètres (les entrées d'eau qui causent la destruction des piles par court circuit sont fréquentes!).
Sources lumineuses peu puissantes, les lampes présentent l'avantage d'être peu onéreuses, peu encombrantes et consomment peu d'énergie.
Il en existe de nombreux modèles, avec une ou plusieurs ampoules halogènes, à piles ou à accus rechargeables, à contacts mécaniques ou magnétiques, etc. Les ampoules vont de
1 à 10 Watts et sont généralement alimentées par piles.
Elles peuvent être un précieux soutien en cas de panne ou fin de batterie du
phare, particulièrement en
plongée de nuit.
Les lampes plus puissantes sont appelées des
phares, allant de 20 jusqu'à 1000 Watts.
Certains sont tellement efficaces qu'une
plongée de nuit pourrait presque ressembler à une
plongée en plein jour!
Néanmoins, pour la
plongée loisir il est préférable de choisir des
phares de faible intensité (50 ou 100 Watts).
Ils fonctionnent au moyen de batteries dont le chargeur est fournit avec, mais des systèmes de recharges rapides sont nécessaires pour recharger les batteries entre les
plongées de la journée.
Enfin, les lampes à faisceau large sont idéales pour la
photo mais conviendront mal dans une eau trouble où les particules en suspension diffusent la lumière.